La peur de l’engagement, un phénomène qui se propage dans plusieurs sociétés qu’elle soit arabe ou autre. Ceci dit il faut bien dire que le monde est incompréhensible ou plutôt l’interdit fait ses preuves pour ce sujet.
Certes l’engagement aujourd’hui veut dire mariage, mais l’engagement peut être défendre ses idées, idéologie, territoire.
La croyance à des idées, un dieu ou autre fait qu’on s’engage à le défendre.
On s’engage depuis la nuit de temps à se reproduire par crainte de pérennité de l’espèce humaine. S’engager c’est aussi répondre aux exigences d’un groupe d’une communauté selon des principes et des règles communes.
Aujourd’hui les citoyens, les femmes les hommes n’importe est leur statut mais la notion de l’engagement se trouve brouillé, flou et devient carrément une phobie. Cette phobie ne disparaît que si on ressent la perte de l’objet ou quand on le perd, mais dans ce cas c’est trop tard.
Un exemple tout simple de cette phobie et franchement le plus facile (qui serait explicable grâce à d’autres variables notamment) est celui du mariage et de l’âge du mariage qui est en train de se retarder. L’explication statistique de ce phénomène consiste dans le fait que l’âge du premier acte sexuel est devenu de plus en plus tôt, des études plus longues, une perception d’une carrière qui ne débute que si on a un minimum d’argent.
Entre une sexualité comblée qui fait naitre un vice de forme et de fond dans les relations et en plus qui reflète un déséquilibre des repères qui à son tour produit une perte de l’engagement.
