mercredi 28 septembre 2011

faire le coït pour cogiter

Ce matin arrivant au bureau, je parlais d'un moment où je cogitais. L'articulation, le contexte, l'heure de ce moment (très tôt le matin), l'habitude que je parle de sottise perverse a fait qu'on a entendu coït. Cette confusion a donc déclenché une avalanche d'idées que je vais essayer de partager, parce que c'est vraiment un bouilli d'idées.
Grace a mes neurones j'ai pu imaginé plusieurs scénarios, pour commencer le scénario le plus simple traité par ma partie animale de mon cerveau bien entendu, était une partie de coït ou la personne cogité sur l’après, d'autres idées. Un autre scénario est possible et qu'une personne peut cogité sur le coït en personne comme étant un moyen de se reproduire, de plaisir, les deux ou autres et de faire la différence entre plusieurs espèces.
Bref c'est pas ce qui m’intéresse parceque mon cerveau a imaginé comment le coït entre idées se passe en plein processus de cogitation, et là je me dis que plusieurs variables s'y mettent et du coup c'est une partouse d'idées et de variables qui font qu'on sort une idée de sa bouche en disant "ah j'ai bien cogité".
Sincèrement il yen a qui font de la branlette avec une seule idée et ils osent appeler ça une cogitation

samedi 24 septembre 2011

dette, des chaines transparentes

Quand les bilans sortez comme étant un pays en voie de développement, quand on dit que ce pays connait une faible analphabetisation par rapport a ses voisins, que notre système economique est en développement et en très bonne santé, que le secteur de santé est très bien ficelé et que les hôpitaux sont bien équipés, que la sécurité sociale aide n'importe quel citoyen, une infrastructures de rêves. Des bilans meilleurs que les pays scandinaves, mais ou sommes nous? On est dans un pays qui a vécu dans un grand mensonges sans aucune preuves de cette foutaises. Le pire est que tous ça n'a pas était fait et que encore pire et dangereux est que il ya eu des dettes au nom de la Tunisie pour "avoir fait ça" mais aucun changement c'est fait. Le changement n'est pas deux routes nationales retapés chaque année. Endettement pour seule raison de faire ce pays un pays en voie de développement, des dettes pour payer des taux d’intérêt et d'autre dettes pour s'en sortir. Mais cet argent n'a pas été versé pour faire de ce pays un paradis, mais pour être versé dans des paradis fiscaux.

En tant que citoyenne contre toute sorte de dépendance de mon pays a un autre pays, organisme.. que cet endettement n'est pas le notre et même si on a besoin de financement qu'on le fasse seul et pas de demander de l'argent aux autres pour se ressaisir. Que cet endettement soit une leçon pour ne pas mettre en péril une autre fois notre souveraineté ni de se donner ni de se rendre dépendant economiquement ou autres .

Je demanderais (peut être pour le moment seul derrière mon écran) que ces dettes soit abolies et renaître de nos cendres.

Je demanderais aux jeunes dans la société civile de faire attention aux sponsoring qui se donnent en avalanche. Cette avalanche qui j'ai bien peur nous étouffe si on continue sans ligne directive ni but pour notre peuple et société civile. Même le mauvais sponsoring, aide ou partenariat est aussi une dette est une dépendance qui peut etre un mal en veille.

Ouvrez vos yeux, faites vos recherches sachez avec qui se lier!!

samedi 17 septembre 2011

échantillon de guerre civile

Je suis à l'instant à gafsa pour continuer le projet de restauration d'une école à 30kilometres au nord de gafsa. On nous a signalé qu'une école a besoin de restauration vu qu'elle a été brûlé. Tenté d'aider, on est donc partis pour faire l’état des lieux à Mdhila. Arriver à Mdhila on a été conduit à l’école par un jeune de cette région "M".
En observant l’état de l'ecole (qui n'etait pas aussi catastrophique ) j'entame une discussion sur ce qui se passe a gafsa. M me dit alors que ce qu'on nous dit aux médias c'est pas que ça de vrai. La guerre est déclarée a Mdhila. Mdhila une region à kilomètres de gafsa où il ya une usine chimique appartenant à la CPG. Deux tribus, les yahia et les m3amar, les yahia ayant des armes a feu venant de la Libye puisque beaucoup d'entre eux travail en Libye (vue le problème de chômage qui a frappé cette région à cause des licenciement de la CPG). Les m3amar en reponse a cette situation ont brulé des biens des yahia. L'histoire a commencé par un yahia qui a voulu boire et un ma3amar qui lui a demandé de pas boire a coté de lui parce que il ya son pere a ses cotés, le yahia a vu ça comme etant une atteinte et une agression: TOUT A COMMENCER. La problématique principale est le phosphate chaque tribu confirme que c'est a elle d'avoir les postes dans cette compagnie et pas l'autre vu la disposition de celle ci par rapport à l'usine. Dans ce cas il ya aussi les Chrayet qui veulent que les m3amar changent d'endroit puisque les terrains leur appartiennent et donc le travail aussi puisque l'usine est a coté de leur territoire.
Beaucoup de tension et de conflits qui font qu'on a du parti au coucher du soleil.
Mdhila se trouve avant borj el 3kerma, et l'acces est fermé au non yahia et au non 3kerma. Borj la3kerma se ferme sur elle même et enferme ses enfants et les parents interdisent leur enfants d'aller au lycée et école a Mdhila de peur que les m3amar se venge sur leur enfant.

Pas de rentrée à Mdhila

de l'autre coté l’école qu'on restaure les enfants non plus non pas fait leur rentrée parce que les parents refuse que les instituteurs ne soient pas de cette régions (même si ceux proposé sont de gafsa)

Gafsa est devenu complètement divisé en mini régions selon les tribus, qui paye? les enfants payent une rentrée non faite, des innocent meurt.

Un problème de tribu, qui est a la base un problème de droit au travail et un chômage qui ronge

vendredi 16 septembre 2011

notre droit est il une contre partie?

En écoutant un citoyen sur la radio national ce matin, il ma inspiré des questions. 

Ce citoyen disait "je veux qu'on me donne mon argent, et ce gouvernement je le laisserai tranquille, je veux même pas voter, je veux rester tranquille, j'ai des enfants a élevé". 

On ma appris à l’école que l’état nous assure des services d'ordre public en contre partie on paye, on doit respecter des règles d'ordres publics. J'ai vécu aussi une époque ou parler politique était un danger pour soi, son avenir et ses enfants. Mais dans ce qu'il a dit les deux on été mêlés de façon a donner un résultat loin de la réalité qu'on cherche avec les élections, les préparations les associations qui visent a sensibiliser le peuple, les jeunes, les chômeurs le tout qui forme cette société. Je dirais que s'inscrire, voter, critiquer les partis politiques est un droit pour assurer une vie convenable en tant que citoyen pour que nos droits soient respectés, pour vivre dans un certain seuil convenable (sans chercher a être un pays développé avec des chiffres gonflés).  Commencer par laisser tombé un droit ou des droits rien que pour demander justice! Si justice n'est pas faite, si on baigne toujours dans un système encore corrompus par la bureaucratie, par des décrets qui ne colle pas à la réalité ni aux besoins de cette société, cette société qui a pourtant fait un contrat avec le gouvernement. Un contrat délaissé ? falsifié? Parlons nous d'un pays en voie de développement ? Mais quel développement sans respect de la justice au point ou le citoyen laisse tombé son droit dans le but de chercher justice pour nourrir sa famille. Sommes nous loin de la démocratie, référendum, et des noms compliqué de l'occident (qui même d'apres des études de juristes doivent être adapter a notre réalité judiciaire, sociale et économique). On baigne dans une confusion des termes, des droits et devoirs sans connaitre l'esprit critiques d'argumentation, on a crée notre dictature qui nous lie. 

Je ne serais pas candide mais j’opterais pour "sortez de la caverne"